Par la Minerco tout d’abord, une puissante et mystérieuse compagnie dont le plan était de le faire passer pour le Cascador, héros de la révolution costaverdienne officiellement exécuté trois ans auparavant. Par la belle Félicity ensuite, égérie en titre du dictateur Ortiz et maîtresse du chef de la police secrète, le colonel Peralta. Par ses propres alliés révolutionnaires enfin, qui l’ont livré à Peralta et fait enfermer dans la redoutable forteresse de Roca Negra. Bref, par tout le monde. Avec un amnésique, on le sait, tous les coups sont permis.
Et si, tout compte fait, XIII avait réellement été l’homme qu’on a essayé de lui faire croire qu’il était ? Une seule personne pourrait répondre avec certitude à cette question : Maria Isabel de Los Santos, fille de l’ancien président et veuve du Cascador, qui attend son excécution dans une cellule voisine de celle de XIII.
Accusé d’être Seamus O’Neil, un terroriste de l’IRA réfugié aux USA,
» XIII » est sur le point d’être éliminé par la National Security Agency quand surgissent des membres de l’organisation criminelle Exécutor
qui l’enlèvent. Pour l’une comme pour l’autre, il est plus que jamais l’homme qu’il faut tuer !
Moteur ! La course folle de XIII reprend. À ses trousses, les tueurs d’Exécutor, la plus terrible organisation criminelle des Etats-Unis. A leur tête la belle Jessica, fauve parmi les fauves….
Avec ce quatorzième épisode, Jean Van Hamme au scénario et William Vance au dessin font une nouvelle fois la démonstration éblouissante de leur talent. Sur terre, dans les airs, dans les flots, l’action bouscule le lecteur avant de l’abandonner ravi et comblé, la tête pleine d’images plus fortes les unes que les autres.
Mais le quinzième tome de XIII ne se résume pas à une simple poursuite, si haletante soit-elle. Jessica sèmera de nouveaux doutes dans l’esprit de XIII sur sa véritable identité. Seul réconfort pour le héros amnésique : il retrouvera ses amis qu’il n’avait pas voulu suivre à l’issue du Jugement, préférant faire -le fou !- confiance à la justice de son pays. Parmi elle, la belle Jones…
Pour fêter les 25 ans de la BD culte, cet album tiré à 999 exemplaires réunit les confidences des auteurs de XIII sur les 19 albums de la série, ainsi qu’une version en noir et blanc du tome 1 : Le Jour du Soleil Noir.
Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays.
Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l’histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.
Après un bref passage dans l’hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissent directement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d’un album par an. Cette série s’impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.
Quand l’homme qui vous condamne ainsi est le chef de la nation la plus puissante du monde, mieux vaut prendre des vacances prolongées. XIII, en compagnie du major Jones, a donc accepté de grand coeur l’hospitalité que lui offrait Armand de Préseau dans sa plantation d’Amérique Centrale. Une occasion pour notre couple choc de retrouver l’ex-sergent chef, Betty Barnowsky, dans son nouveau rôle de marquise.
C’est là que XIII est contacté par le padre Jacinto, un prêtre-guerillero nettement plus proche de Che Guevarra que de l’archevêque de Canterbury. A la profonde perplexité de l’amnésique (et au grand déplaisir de Jones), le message du curé de combat tient en deux points : 1° – Vous êtes mariés ; 2° – Votre femme, Maria, va être exécutée au Costa Verde.
Fausse vraie intox ou vraie fausse vérité ? That is the question. En tout cas, mitraillette et curarachas, c’est parti pour une nouvelle machination musclée sur fond de jungle et de dictature tropicale.
Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays.
Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l’histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.
Après un bref passage dans l’hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissent directement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d’un album par an. Cette série s’impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.
Après vingt-deux albums de vols spatio-temporels, Christin et Mézières ont décidé de clôturer la saga par un final époustouflant, une extraordinaire épopée à la recherche de la Terre disparue mais aussi une ultime surprise pour les deux héros. Valérian et Laureline, accompagnés comme toujours d’un éblouissant bestiaire extraterrestre, devront d’abord triompher des Wolochs, ces terribles blocs d’inhumanité, pour terminer en beauté l’une des plus belles aventures du 9ème art.