Bière de taille

Contrairement à d’autres domaines, dans la dégustation d’une blonde ou d’une brune, la taille fait toute la différence. Comment voulez-vous que le houblon exalte ses douces vertus dans une ridicule chopine de vingt-cinq centilitres ? C’est au minimum une pinte qu’il vous faut pour apprécier pleinement la saveur de la bière !


Brune ou blonde ?

S’ils ont en main une belle blonde, généreuse et ambrée, ils fantasmeront sur le corps fruité d’une brune amère ! Et quand une Irlandaise accompagne leur soirée, ils regrettent toujours l’Allemande qu’ils ont vue passer ! Qu’importe ! Brunes ou blondes, en bouteille ou à la pression, les bières coulent de tous les coins du monde pour apparaître dans le nouvel album de Poje.


D’une bière deux coups !

Que la gueuze et la lambic coulent à flot, Poje, le héros des barmans, le prince des chopes, rouvre son établissement et vous ressert 44 pages bien frappées, sorties tout droit du fût ! Que vous les aimiez blondes ou brunes, amères ou sucrées, ses histoires, comme ses bières, sauront vous rafraîchir et vous pourrez même en abuser avec délectation…


Bière précieuse

Poje, le plus gaffeur des barmans, le héros de tous les piliers de bistrots, reprend du service pour une nouvelle série de gags. Tour à tour confident, ami et voisin, il est toujours prêt à aider ses clients et à étancher leur soif…


La perle a disparu

Vingt-cinq bâtiments participent à un impressionnant exercice de l’Otan dans le détroit de Gibraltar. Parmi eux, un des fleurons de la Marine nationale, le sous-marin d’attaque nucléaire « La Perle » doit apporter son aide dans cette simulation de blocus.
Le problème, c’est qu’à peine l’exercice commencé, la Perle ne répond plus…
Il faut dire qu’à bord, on vient de recevoir des ordres très précis de l’état-major : abandon immédiat des manoeuvres de l’Otan et départ en mode furtif pour une destination inconnue en Méditerranée.
Ce que l’équipage de La Perle ignore, c’est que l’état-major n’est pour rien dans ces ordres. Au ministère de la Défense, c’est le branle-bas de combat. On vient de perdre un bâtiment armé d’ogives nucléaires. Une telle information pourrait avoir des retombées catastrophiques sur le plan international, on demande donc à l’unité secrète d’investigation de la Marine nationale d’intervenir. Nathalie Mercier, Stéphane Bergam et Kamel Khoun se lancent à la recherche d’un des bâtiments les plus secrets de notre armada.
La Section Trident est en chasse…


L’Amérique en guerre

L’opération Coup de timbale s’est avérée un tel succès que la Kriegsmarine ne rêve que de prolonger ses victoires. Seul l’équipage de l’U-47, cantonné à des missions secrètes, ne se réjouit pas et trépigne d’impatience, avide d’aller prendre part à cette traque sur les navires américains, vulnérables et sans défense. De leur côté, les Britanniques s’inquiètent de l’inefficacité américaine et envoient leur meilleur chasseur, le commandant Walters, pour redresser la situation là-bas. Une fois de plus, Prien, à bord du l’U-47, va se retrouver face à sa némésis pour un combat qui pourrait bien sonner le glas de son sous-marin comme de son équipage.


Les naufragés de Malpasset

Hubert Granville, ancien flic d’élite de la Brigade criminelle aux méthodes parfois musclées, décide en cette fin d’année 1959 de quitter le 36 quai des Orfèvres pour rejoindre la Surveillance générale. La «SUGE», c’est ainsi qu’on surnomme la très méconnue et secrète police des chemins de fer. Mais notre héros, craignant une préretraite, va vite découvrir que l’univers du rail est loin d’être de tout repos entre trafics en tous genres, braquages, flingages entre espions, vols, meurtres… Granville va rapidement reprendre du poil de la bête en constatant que ses nouvelles fonctions sont loin d’être une sinécure et que les macchabées s’amoncèlent le long des voies ferrées avec autant d’abnégation que dans les ruelles sordides de la capitale. Bienvenue dans cette série noire, mais non dénuée d’humour, véritable immersion dans l’univers du polar des années 50 dans une ambiance digne des grands auteurs de cette époque : Simenon, Jeanson, Steeman, Simonin, Audiard… Alors, calez-vous confortablement dans votre banquette de moleskine ou de tissu, à bord des trains mythiques de cette époque où les machines à vapeur cohabitaient avec les locomotives électriques, et laissez-vous emporter en pacific 141, en 232 U et autres merveilles de technologie et d’esthétisme de cette époque…