Max

Quand Max est mis aux arrêts pour trahison, sa vie bascule. Pilote dans l’US Air Force, Max dit « le Polak » a émigré aux États-Unis pour fuir la persécution nazie en Europe. Né en Haute-Silésie, de famille juive polonaise, Max s’est engagé dans l’armée américaine, où il sert sur une base aérienne du Pacifique. Pris pour un autre, il est soupçonné d’être un espion nazi, victime de sa ressemblance avec l’Allemand Werner Königsberg, né comme lui en Haute-Silésie, et qu’il a effectivement connu quand il était enfant, lorsqu’il rêvait d’aviation avec lui et la petite Hanna.

Un récit de guerre et d’aviation, à la croisée du drame psychologique, de l’aventure réaliste et de l’histoire d’espionnage.


Fléau sans frontière

Catastrophe pour Nelson ! Julie a un nouveau petit copain… Et entre cette relation qui débute, son travail qui l’accapare et l’attention qu’elle porte à son chien Floyd, comment va-t-il parvenir à retrouver sa place dans le coeur de le jeune fille ? Fidèle à lui-même, notre diablotin préféré n’est pas à court d’idées, toutes plus hilarantes les unes que les autres, pour rappeler à son entourage qu’il faudra compter sur sa présence !


Le baleinier

Lorsqu’Esteban, un indien de 12 ans, se présente au capitaine du Léviathan pour se faire embaucher comme harponneur, celui-ci commence par le ridiculiser. Mais quand il apprend qu’ Esteban est le fils de Suzanna, de la tribu des Tehuelches, il se résout à l’embaucher… comme mousse. Qu’importe, ce sera pour Esteban l’occasion de découvrir la vie à bord, avec ses brimades et ses moments de bonheur, et, peut-être, quand le navire croisera un banc de baleines, de prouver sa valeur ! Le début d’un récit épique, magnifiquement mis en image par Matthieu Bonhomme.


SPIROU l’espoir malgré tout (Première partie)

Janvier 1940. Un hiver particulièrement rude s’est abattu sur Bruxelles. Alors que tout le monde attend avec appréhension l’arrivée imminente de la guerre, Fantasio s’est engagé dans l’armée belge. Dans la forteresse d’Ében-Émael, il est impatient d’en découdre et ne doute pas une seconde que les armées française et britannique écraseront l’armée allemande…

Quant à Spirou, il est toujours groom et continue de vivre le plus normalement possible. Sa rencontre avec Felix, un peintre juif allemand dont les nazis ont jugé l’oeuvre « dégénérée », et Felka, sa femme, va lui faire découvrir la « question juive » et la complexité de la situation internationale.

Quand la guerre éclate, Fantasio cherche à servir la patrie le plus héroïquement possible. Spirou, lui, essaye de comprendre la complexité de la situation à travers des rencontres avec des personnages profondément humains et tente de se rendre utile en étant fidèle à ses valeurs.


Ceux qui savent

La saga de la vengeance des frères Larsson se confond avec le combat des Svears (les Vikings) et des Francs, de leurs deux mondes, leurs deux civilisations, leurs deux religions. Au début de ce dernier tome, on retrouve les différents protagonistes dont les parcours vont entrer en collision : Harald, aidé par la déesse Freyja, va devoir affronter le roi fou des Skanes, le terrible Grimnir. Il lui faudra aussi retrouver et soumettre Bjorn le beau, qui tient toujours en captivité leurs épouses. Bjorn est aux portes de la forteresse d’Ulf le blanc. Ce dernier détient la relique promise au pape par Charlemagne. Les créatures des anciennes mythologies nordiques, les géants, les femmes-louves, vont sortir de l’ombre et aider les hommes dans leurs luttes. Alors qu’à Rome, un nouveau monde, unifié sous la religion unique, se prépare…


Kidnappé !

Pirate au grand coeur retiré des affaires pour élever ses deux filles, Campbell a vu son passé resurgir, et avec lui le pénible souvenir de la disparition de son épouse bien-aimée, l’obligeant à fuir avec ses filles et à trouver refuge sur l’île Bakalaoo. Mais la traque continue. Kidnappé par Turco, une vieille connaissance de sa vie d’avant, il se morfond dans sa geôle, sans se douter qu’Itaca et Genova remuent ciel et terre pour le sauver. Car bon sang ne saurait mentir !


La fée du radium

Dossier de Renaud Huynh

Née en 1867, Marie Curie est la seule femme à avoir reçu deux Prix Nobel : le Prix Nobel de physique en 1903, qu’elle partage avec Pierre Curie son mari, puis le Prix Nobel de chimie pour ses travaux sur le polonium et le radium en 1911. Elle fut par ailleurs la première femme à enseigner à la Sorbonne en 1906

La partie dessinée de l’album, réalisée par Chantal Montellier, se situe au moment où Marie Curie reçoit son second Prix Nobel, alors qu’une violente campagne de presse se déchaîne contre elle. Sa liaison avec le physicien Paul Langevin, rendue publique, lui fut amèrement reprochée. De souvenirs en flash-back, nous sont contés les moments-clés de son existence et de sa carrière, déjà exceptionnelles en soi, et davantage encore si l’on se rappelle du peu de place accordée aux femmes dans le domaine de la recherche à l’époque.