La Voie du sabre

La Voie du sabre est le troisième et dernier volet de Griffe blanche, la série d’héroic fantasy de Serge Le Tendre et Olivier TaDuc.

Cet ultime épisode permet de comprendre l’histoire de Griffe blanche – une héroïne qui se sacrifie pour racheter les fautes de son frère. Obligée de suivre « la voie du sabre », la jeune femme, parfaitement formée au combat, finit par rejoindre la princesse du peuple Dragon. L’affrontement final enfin peut avoir lieu !

Une série, située entre La Quête de l’oiseau du temps et Game of Thrones. Ce dernier album conclut de manière triomphale ce triptyque.


La Porte des Enfers

Alors qu’il est parvenu au sommet et que plus rien ne semble pouvoir entraver le destin sanglant de Whismerill, un fait inattendu survient : son père, présumé mort, revient lui révéler toute la vérité ! Le jeune monarque comprend enfin que, depuis le début, il n’est que le jouet d’une vaste supercherie dont Haazel Thorn tire toutes les ficelles.

Confiants, les prêtres de la Lune Noire s’autorisent toutes les exactions et les démons arpentent librement le nouvel empire. Mais qu’ils se méfient de l’eau qui dort : Wismerhill est toujours le protégé des vents. Eux ne l’ont jamais trahi.

Avec patience et minutie, Froideval met en place le dernier acte de sa série culte. Après un onzième tome de transition, l’action repart de plus belle dans ce nouvel opus. Chaque personnage, de Whismerill au Méthatron, abat ses cartes et entre dans la dernière danse. Paradoxalement, plus la fin se rapproche, plus on renoue avec les débuts de la saga.

Pièce par pièce, l’auteur déroule la trame d’un plan soigneusement ourdi. À ses côtés, Pontet ne démérite pas : aussi à l’aise dans les scènes  » diplomatiques  » que dans les batailles épiques, le dessinateur ne cesse de fluidifier sa mise en scène pour notre plus grand plaisir.


Contrefaçons

Pierre Boisserie, Philippe Guillaume et Erik Juszezak mettent à nouveau leur héros à l’épreuve dans ce nouveau cycle où l’art contemporain a une place de choix !

Cet album inaugure un nouveau cycle de deux tomes qui se déroulent dans le milieu de l’art contemporain. Un marché qui brasse des sommes d’argent colossales et qui attire spéculateurs et faussaires… Un nouvel épisode qui se déroule en grande partie à New York, plaque tournante de l’art contemporain.

Un nouveau diptyque dans le milieu de l’art contemporain : secrets, argent et trahisons sont les maîtres mots de cet album.


La Dame de Dubaï

Manipulation ? Surveillance ? Renseignement ? L’équipe de contractors réunie par Kendricks, vétéran de la guerre contre le terrorisme des années 2000, bénéficie du soutien inconditionnel de la toute nouvelle administration néo-conservatrice américaine. L’enjeu ? Un secret qui pourrait faire vaciller toutes nos certitudes. Leur cible ? Une jeune milliardaire qui saute par dessus les fuseaux horaires avec une facilité déconcertante et fréquente les milieux d’affaires les plus fermés. A la pointe de la technologie des années 2020, le plan mis en oeuvre par Kendricks et ses hommes permettra-t-il de percer cette aura de mystère ? Ils ne le savent pas encore, mais la Dame de Dubaï a largement les moyens de se défendre. Sinon de contre-attaquer.


Black Op – tome 7

Stephen Desberg et Hugues Labiano, dans ce nouvel album d’espionnage, dévoilent aux lecteurs les dessous troubles de la crise pétrolière qui ébranla l’Occident et transforma durablement les rapports Nord-Sud…

Les Black Op, ce sont les opérations secrètes de la CIA – celles qui se déroulent en marge de toute légalité. Dans les années soixante-dix, l’agence décide ainsi d’installer un faux couple d’espions au coeur de l’Iran pour enquêter sur des compagnies pétrolières et sur certains mouvements financiers suspects…

Black Op : une BD d’espionnage digne des romans de Tom Clancy et de la série télévisée Homeland.


Entre chiens et loups

Dans cet album, apprend comment, dans des années 1970 différentes de celles que nous avons connues, une secte dirigée par une femme magnifique, vêtue d’une manière « hippie préhistorique », évolue dans un paradis artificiel dans la forêt pétrifiée, non loin de San Francisco et de Los Angeles. On découvre qu’il s’agit c’est d’un « faux » dieu, et comment un véritable dieu lui rend visite pour dévoiler la supercherie. Cependant, portée par la foi de la communauté, cette femme acquiert le pouvoir de s’élever dans le ciel, comme les dieux, et prouve ainsi que les hommes peuvent eux aussi détenir un peu de ce pouvoir qu’on appelle « divin ». Une deuxième histoire, plus courte, fait revenir le seigneur des Mouches…


Pour Hélène

Résumé des épisodes précédents :

L’armateur Julien de Trichère a racheté la Belle-Hélène, un vieux cargo pourri, pour le naufrager et toucher l’assurance. Yann Calec, le jeune capitaine du cargo, est prévenu de la magouille par Rasanna, une passagère clandestine. Mais arrivé en Colombie, piégé par Escalona, complice de l’armateur, il est accusé de trafic de drogue et condamné à 19 ans de bagne – d’où il s’évade avec l’aide du Pr Condé, père de Rosanna.

Alors qu’ils s’embarquent tous les trois sur la Belle-Hélène, que Calec espère encore pouvoir sauver du naufrage, l’Allemand Kortmann, payé par de Trichère, a justement prévu de couler le bateau pendant la traversée.

La Belle-Hélène, torpillée en pleine mer, coule à pic, tandis que les rescapés sont impitoyablement mitraillés. Calec, qui flotte au milieu des morceaux d’épave, se croit le seul survivant jusqu’au moment où il découvre Rosanna en train de dériver sur le radeau. Les retrouvailles sont très chaudes, mais pendant ce temps, Kortmann, qui ne peut pas se permettre de laisser vivant un seul témoin du faux naufrage, commence à organiser les recherches et à tendre son piège aux rescapés.

Calec et Rosanna ne sont pas au bout de leurs peines – ni de leurs joies puisqu’ils vont passer cinq mois sur une île déserte, ce qui aura pour effet d’arrondir considérablement le ventre de Rosanna…

Finalement, après bien des rebondissements et quelques actions sanglantes, justice sera faite et le lecteur arrivera à la fin du premier cycle de ce thriller haletant – mi-polar, mi aventure maritime – servi par un dessin aussi solide qu’expressif. Mais pour que les fans ne sombrent pas dans la déprime, une bonne nouvelle : Yann Calec reviendra !


Vérités toxiques

Conclusion de cette saison 2 de Dantès, où Pierre Boisserie, Philippe Guillaume et Erik Juszezak, mettent leur héros dans une situation des plus délicates. Menaces, morts et scandales sont les maîtres mots de cet album.

Dans ce tome conclusif de la saison 2 de Dantès, notre héros, en enquêtant sur les activités suspectes d’une de ses sociétés, spécialisée dans le traitement des déchets toxiques en Afrique, met au jour une combine qui implique à la fois des responsables politiques et des hommes d’affaires véreux prêts à tout pour s’enrichir. Mais alors qu’il s’apprête à découvrir la vérité – et que le scandale menace –, Dantès est poignardé. Sa vie ne tient plus qu’à un fil…

La fin du second cycle de Dantès, une BD aux allures de thriller pour dénoncer les grands scandales de notre société.


La Reine noire – tome 1

Tome 3 des incroyables aventures de Milo, ce héros pas comme les autres créé par Richard Marazano et Christophe Ferreira. C’est le monde à l’envers : Milo est invité de « l’autre côté » par le sorcier, le père de Valia, qui était, il y a peu, son ennemi et que, par ailleurs, il croyait mort ! Ce dernier a besoin de l’aide du jeune garçon. La situation au village est désespérée : le poisson d’or est très malade, et surtout, les enfants, mais aussi Valia, ont été capturés par les araignées géantes de la Reine noire. Milo se lance à leur recherche et va de surprise en surprise… Début d’une nouvelle aventure de Milo qui se déroulera en deux tomes.


Le Paradis des cailloux

Samedi (un lézard rouge) et Dimanche (un lézard en vert) pêchent tranquillement sur leur petite île, quand Samedi est pris d’une crise de questionnite aiguë – pas grave mais pénible pour l’entourage. Il veut savoir un tas de trucs, et il veut explorer l’île pour obtenir des réponses. Dimanche aimerait mieux rester ici et pêcher bêtement, mais il est sympa. Alors il met son tee-shirt « spécial aventure », il embarque sa baignoire et c’est parti pour l’exploration.
S’ensuit une épopée loufoque au cours de laquelle les deux copains apprennent des choses. Par exemple, trop de réponses idiotes, ça répond à rien. Et pour réussir ses crêpes, il faut un télescope ultra-performant. Et le paradis des cailloux, c’est barbant. Et le bonheur livré en kit, ça vous abrutit gravement.
La quête est éprouvante. Il y a même un moment où Samedi craque. Il en a supermarre. Il n’est plus qu’un pauvre petit chiffon désespéré qui veut « tomber ici et puis rester tout mou sur le sol et puis pleurer ». C’est affreusement triste. Sauf que ça finit bien : ils retrouveront leur plage et Samedi sera (presque) tout à fait guéri.
Comme dit Samedi : « Tout ça donne à réfléchir. » Sur la vie, la mort et le pourquoi du comment. L’humour est embusqué partout, dans chaque détail du dessin – très malin et émotif – et dans les dialogues, complètement craquants. Le résultat se lit à plusieurs degrés et devrait séduire aussi bien les adultes amateurs de BD inventive, que les enfants, généralement assez doués en matière de questionnite aiguë.