Ce récit est un récit férocement piégé. Il démarre dans une cour de récréation, puis dans une salle de classe, où la caméra graphique virtuose de Larcenet immobilise très vite deux gamins d’une dizaine d’années : Gildas et Martina. Tout aussi. Gildas (dont le cri de guerre est : « Cosmonaute du futur! ») et Marina paraissent simplement un peu intoxiqués par la S.F., le fantastique. Ils voient des robots, des Aliens partout.
Pour eux, tout n’est qu’apparences trompeuses. Un grand complot menace tout le monde !.. Le lecteur sourit et s’amuse. Et puis soudain, quelque chose bascule. Le lecteur bascule avec, de manière vertigineuse…
Attention, événement ! L’une des plus fortes personnalités du rap français, Rim’k du 113 et fondateur du collectif Maghreb United, s’associe avec Régis Hautière – à qui on doit notamment Le Dernier Envol – et un dessinateur argentin, Walther Taborda, pour une bande dessinée totalement inédite. À partir de son expérience des quartiers, Rim’k brode sans complaisance ni cliché, une trame policière originale mettant en scène quatre adolescents embarqués malgré eux dans une magouille politique. Un album drôle et percutant.
La Lune Noire semble à son zénith et précipite les forces qui s’arrachent les lambeaux de l’Empire de Lhynn vers l’affrontement. L’issue de la bataille ne pourra être que le chaos et la mort pour l’Empereur, les grands vers, et les chevaliers de la lumière.
Wismerhill et sa bande de mercenaires ne seront pas que de spectateurs dans le jeu mortel qui débute. et la brûlante Succube, âme damnée de Wismerhill, devra choisir son vrai maître…
Sur le bord de la route, une affiche vante les joies de l’american way of life. Mais dans ce bled du Sud des Etats-unis où échouent Dixie et ses parents, la vie est dure pour les métayers couverts de dettes.
Et voilà que Jones, son charmeur de père, toujours belle gueule et prêt à faire des bêtises, joue les Robin des Bois en venant au secours des métayers avec l’argent qu’il a tiré d’un braquage de banque. Son « dernier » coup, disait-il. Puis il perd plus de 4 000 dollars au jeu et se fait piquer le reste par un flic local. Lessivé et toujours recherché pour son précédent braquage, il en tente un autre.
Pendant ce temps, Mrs Jones, qui est en réalité l’héritière d’une grande famille, trime dans les champs de coton. Et elle, c’est un mystérieux Cab Keena qui la recherche…
Quant à Dixie, qui a juste l’âge de tomber amoureuse du premier type capable de lui apporter un peu d’oxygène – en l’occurrence un journaliste occupé à écrire sur la grandeur des travailleurs de la terre -, elle apprend que décidément, on reste toujours seul dans la vie.
Sous de magnifiques ciels tourmentés – qu’on doit aux pinceaux de Marie-Paule Alluard -, le Sud des Etats-Unis dans les années 20, et les aventures d’une émouvante gamine de quatorze ans qui, décidément, veut croire aux mirages, alors qu’il ne fait pas bon être noir, ni « coco », ni pauvre, en ces temps de crise.
Dixie Road nous emmène dans les États-Unis des années trente. Le crack boursier a provoqué une crise aux lourdes conséquences économiques et sociales. La société Fisherman’s dream n’échappe pas à la règle. Au milieu de ce tumulte, la vie d’une jeune fille – Dixie – et de sa famille, ballottée par des événements qui les pousseront à prendre la route, à la recherche de l’american way.
Milo est un jeune garçon si souvent seul dans une maison au bord du lac. Un jour, il trouve un magnifique poisson d’or, et sa vie bascule ! Car après le merveilleux poisson, c’est un homme à tête de crapaud, puis un autre à tête d’aigle qui apparaissent, bientôt suivis par une jeune fille prisonnière. Milo découvre que, de l’autre côté du lac, existe un monde fantastique dans lequel une bataille entre le Bien et le Mal fait rage. Il comprend surtout qu’il n’est pas impliqué dans cette histoire par hasard… 1er tome du « Monde du Milo », une série tout public signée Richard Marazano et Christophe Ferreira, qui ravira les préados et les adolescents.
Pour Mia, tout est nul dans cette rentrée ! Les bâtiments, la cantine et les profs du collège privé qu’elle vient d’intégrer pour améliorer ses notes. Elle a du mal à trouver sa place parmi ses nouvelles camarades « chichiteuses », et sa bande de copains lui manque. Surtout Gauthier qui est très occupé avec sa petite amie, Lula. Malgré tout, certains soirs, ils se retrouvent tous dans leur QG, l’appartement que le grand-père de Wilfried loue à des étudiants, dont l’intrigant « Viking » que Mia aime bien. Heureusement, la visite nocturne d’une maison hantée et un tournoi de jeux vidéo vont ressouder le petit groupe…
Ce sont les vacances ! Pico et Ana Ana en profitent bien : copains, palabres, jeux, piscine, détente, soleil… Mmm… qu’est-ce que c’est bien ! Mais, tout à coup, rien ne va plus : leurs parents ont décidé de partir une semaine en vacances sur un voilier mais… SANS EUX ! Tragique erreur : Pico et Ana Ana vont leur faire comprendre, à leur façon, qu’on n’abandonne pas ses enfants comme ça ! 48 pages de bonheur !
Dans les années 1930, un mystérieux consortium a conclu un pacte avec Hitler afin de l’aider à accéder au pouvoir… De nos jours, cette organisation secrète continue d’oeuvrer dans l’ombre et semble décidée à créer un nouvel ordre mondial. Deux agents du Mossad et de la CIA ainsi qu’un ancien trader impliqué dans ce complot via son père vont unir leurs efforts pour remonter la piste du consortium, dans le plus grand secret. Leur enquête les amène à imaginer l’impensable : et si les nazis avaient réussi à créer l’Übermensch, le « surhomme » ? Et si ces effroyables expériences menées par un certain professeur Bleiberg pendant la guerre avaient un lien avec le consortium ?… Un thriller palpitant adapté par le scénariste de « La Quête de l’oiseau du temps ».
Il y a plus de 50 ans, Marcel Gotlib créait sa Rubrique-à-Brac dans le magazine Pilote. Le succès fut immédiat et la RAB devint vite une série star du journal. Newton, la Coccinelle, le professeur Burp, Bougret et Charolles, etc : tous ces personnages figurent au casting de ce monument de la bande dessinée. Ce best-of réunit la crème de la crème du meilleur de Marcel Gotlib, en toute subjectivité !