Lancée en 2005, la collection V.O. propose de (re)découvrir les gags de Gaston Lagaffe dans une édition noir et blanc, en fac-similé, qui donne toute la mesure du trait nerveux et virtuose d’André Franquin.
Une période décousue, pendant laquelle Franquin, pris au milieu de ses projets de dessins animés du Marsupilami et des Tifous, continue à animer le personnage de Gaston Lagaffe, et ce jusqu’à sa disparition, survenue en janvier 1997.
L’intégralité des gaffes du garçon de bureau le plus célèbre de la bande dessinée publiées dans Le journal de Spirou entre 1982 et 1996 sont réunies dans ce très beau recueil.
Perdus dans la neige, Terry et le Maître des couteaux trouvent refuge dans un gigantesque hangar qui abrite le 5e Salon du jouet. Après avoir couru « partout comme un gros dingo pour tout essayer », Terry a une illumination géniale : avec les moyens du bord — et une bonne dose d’optimisme enfantin —, il va tenter de construire une « machine à démourir » qui devrait leur permettre de quitter le Monde des Limbes et de retourner dans le monde des vivants. Mais l’apparition de Camille, qui offre au Maître des couteaux une mystérieuse pierre ensanglantée, va rendre ce dernier fou de rage. Et c’est à ce moment-là que Terry va vraiment regretter d’avoir offert une tronçonneuse comme cadeau de Noël à son ami amateur d’objets très tranchants…
Loin de lui, ses amis vivent également des aventures éprouvantes : Dodji est toujours le jouet du Maître Fou qui lui fait vivre une initiation aussi absurde qu’impitoyable ; Yvan se retrouve en bord de mer dans la maison de vacances familiale ; Leïla est enfermée dans la chambre blanche pour un sommeil éternel et sans rêve…
C’est la rentrée des classes pour Aubépine, qui préfère de loin explorer la montagne en compagnie de son chien Pelade. Mais l’arrivée des feuilles mortes rime aussi avec l’arrivée des ennuis, quand un étrange renard décide de bouleverser l’harmonie des saisons ! Le roi de l’Automne, puisqu’il s’agit de lui, est un goupil revanchard qui ne souhaite qu’une chose : prendre la place de la reine du Printemps. Pour ce faire, il lui faut détruire chaque élément dans lequel elle s’incarne, sans exception.
Aubépine ne peut le laisser faire.
Sur les conseils de son amie la vieille bergère, la petite fille va tout faire pour sauver le Printemps. En affrontant le maudit renard que chaque victoire a rendu plus puissant et plus fou. En découvrant le véritable symbole du pouvoir du roi des saisons : la couronne des Cimes. Et en domptant ce pouvoir.
Léo, le spirit, part chez son père et s’immerge complètement dans sa bibliothèque. À travers sept histoires courtes, il en apprend plus sur les sept mages originaux. Et la vérité est bien différente de la légende !
Léo apprend qu’il n’y a pas eu sept mages mais huit, que l’un d’eux a trahi ses compagnons, que la magie se transmet au premier héritier… et que les autres enfants d’un mage meurent inexorablement ! Il apprend surtout que la Bête a été créée de toutes pièces par les mages pour apparaître comme des héros aux yeux des hommes et ainsi gagner leur confiance.