Mortimer ne parvient pas à percer le mystère de l’onde Mega et le fonctionnement du Télécéphaloscope de Septimus lui échappe. Qu’est-ce qui peut bien provoquer toutes ces interférences ? Cela pourrait-il avoir un lien avec cet inconnu en chapeau melon qui arpente les rues de Londres en demandant après Guinea Pig ?
Jean Dufaux et Antoine Aubin, aidés d’Étienne Schréder, revisitent La Marque Jaune. Ils prolongent le mythe et signent le grand retour d’Olrik sur les quais de la Tamise.
Tranches napolitaines
Régulièrement placée sous les feux de l’actualité pour des raisons souvent tristes (la mafia, les crises des ordures, la pauvreté…), Naples est pourtant aussi, sans aucun doute, une des villes les plus attachantes du monde. Son site extraordinaire sous le Vésuve et devant la baie et les îles, ses rues bariolées et éminemment vivantes, ses habitants chaleureux et fous, tout cela a inspiré quatre auteurs français en résidence, pour proposer un récit labyrinthe complet, à huit mains, qui illustre cette folie et cette beauté napolitaine. Anne Simon plonge dans la mythologie très présente dans la ville, Bastien Vivès se promène en scooter, Alfred lance une jeune Française à la recherche de son père, et Mathieu Sapin explore un des fabuleux musées de la ville et chacun de ces récits se croise, s’entremêle aux autres.
Le Père Gab
Revenus sains et saufs de l’Autre Monde, Max, Noé, Théo et Rebecca se sont plus ou moins perdus de vue. Jusqu’à ce que Rebecca, atteinte d’un mal incurable, resurgisse dans la vie de Théo et Noé, qu’elle entraîne de nouveau dans l’Autre Monde, guidée par un fantôme. Ils y retrouvent le Père Gab, que tout le monde croyait mort…
Mais l’Autre Monde recèle de grands dangers, et même s’ils commencent à comprendre que la clé de la guérison de Rebecca s’y trouve peut-être, aucun de nos jeunes héros ne sait qui les a attirés là, ni dans quel but. Face aux menaces tapies dans l’ombre, ils n’ont d’autre solution que de faire confiance au Père Gab et de le suivre malgré leurs peurs et leurs doutes.
Méga Spirou 23
Premier de classe (en commençant par la fin)
C’est un véritable retour aux sources pour l’Elève Ducobu! L’Empereur des cancres retrouve son royaume – le coin – et sa bataille éternelle contre les interrogations-surprises. Mais il n’est pas revenu les mains vides: jamais avare de réflexions lorsqu’il s’agit de trouver de nouveaux moyens de tricher, il a mobilisé toutes ses cellules grises pour ne jamais avoir à apprendre combien font 6×7. Zidrou et Godi nous le prouvent même séance tenante en nous invitant dans le cerveau de Ducobu, décidément bien sollicité par cette maudite école!
Entre rire et poésie, Zidrou et Godi poursuivent leur charge effrénée contre le «prêt-à-penser» tellement répandu de nos jours, pour le plus grand bonheur de tous les lecteurs de notre «alter-éducationniste» préféré !
Système D
Contrairement à Léonie Gratin et Monsieur Latouche, Ducobu attend les vacances avec impatience ! C’est logique, car s’il y a bien une chose que Ducobu est capable de réussir, ce sont ses vacances ! Il en profite d’ailleurs pour développer de nouvelles compétences de triche afin de conserver de manière plus que méritée son titre d’ « empereur des tricheurs » !
Ducobu La Compil’ de Noël
Ca sent les vacances
Qui a eu cette idée folle, un jour d’inventer l’école ? Sûrement pas Ducobu qui, lorsqu’il voyage dans le temps en pensée, n’a qu’une obsession: retrouver Charlemagne et l’empêcher de commettre l’irréparable. Mais, dans l’ombre de tout cancre, il y a toujours une première de la classe… Résolu, notre trublion jaune et noir s’en retourne aux bonnes vieilles habitudes. Et, croyez-nous, quand il s’agit d’inventer de nouvelles manières de tricher, son imagination est sans limites.
L’angélus Intégrale
Rien ne prédestinait Clovis à ressentir l’intense bouleversement qu’a suscité en lui la découverte de L’Angélus de Millet, au musée d’Orsay. Père de famille sans histoire, au quotidien enlisé dans la routine, il se sent d’un coup submergé par une émotion inconnue qui le pousse à découvrir ce qui se cache derrière l’image. Troublé par les versions qu’en a faites Dali, il se convainc que là réside la clé du mystère. Parallèlement, il explore les souvenirs personnels que cette toile a fait ressurgir inopinément, au risque de mettre en cause l’équilibre, même bancal, sur lequel reposaient toutes ses relations familiales. Confronté à l’incompréhension de son entourage, il décide de poursuivre sa quête, quel qu’en soit le prix. C’est l’autre moitié de ce chemin semé d’embûches et de révélations que parcourt Clovis dans le second volet de cette histoire fondée sur un authentique secret de famille, celui du peintre Dali.
Adelante Intégrale
Angel est un simple fils de paysans qui a pu s’extraire de sa vile condition par son éducation, poussé par le padre de son village. Ses succès militaires, au moment de l’invasion des troupes de Joseph Bonaparte, frère de Napoléon, lui valent son surnom de « Libertador » aux yeux du peuple. Mais, s’il combat aux côtés des aristocrates, il n’est pourtant pas considéré comme un des leurs et se retrouve écartelé entre deux femmes, l’une combattante à ses côtés, l’autre fille d’un Grand d’Espagne. La rumeur autour du mystère de sa naissance en ferait pourtant le bâtard d’un hidalgo, à moins que la vérité cache un autre drame.
Scénarisé par Frank Giroud et construit autour d’un secret de famille, ce drame épique et sentimental dans l’Espagne du XIXe siècle a révélé le jeune dessinateur Javi Rey. Entre résistance à l’envahisseur et confrontation des conditions sociales, un vent de liberté et de désir souffle sur ce récit passionné.