Intégrale – tome 3

XIII a 30 ans : (re)découvrez cette série mythique sous forme d’intégrales pour célébrer cet anniversaire comme il se doit ! Mais pas n’importe quelle intégrale : un dossier supplémentaire exceptionnel de 14 pages sur la création de la série avec un grand nombre d’inédits accompagnera chacun des recueils ! Les 19 albums du cycle 1 de XIII sont rassemblés en cinq tomes, tous publiés en 2014, avec une maquette inédite pour cette occasion ! Édition unique, à tirage limité : à ne pas louper !
L’intégrale tome 3 regroupe les tomes 9 à 12 de la série classique.


L’Appât

Suite des aventures de XIII ! Sur les traces de Van Hamme et Vance, Yves Sente et Iouri Jigounov en poursuivent le récit de la plus belle des manières dans ce tome 21. Toujours réfugié en France chez Armand et Betty, notre amnésique est traqué par la société de mercenaires USafe. Ceux-ci iront même jusqu’à prendre Jones en otage au Banichistan pour attirer XIII. Betty, de son côté, enquête sur le Mayflower, source d’un complot et de révélations supplémentaires…


Abélard – Intégrale complète

Abélard est le héros de cette intégrale attachante signée Renaud Dillies et Régis Hautière. Pour séduire la jolie Épilie, Abélard ne voit qu’une solution : lui décrocher la lune ! Durant cette quête, il nous fera passer des rires aux larmes. Retrouvez toute la poésie de ce road-movie animalier dans une intégrale petit format, enrichie de jolies pages d’introduction de chapitre et d’un cahier de croquis.


La Marque du Diable

Pour les habitants de la basse ville, il est le Scorpion. Les hommes l’évitent, redoutant son épée plus virevoltante que la nuée de moustiques d’une chaude nuit d’été. Les femmes le cherchent, fascinées par la prestance de ce beau brun qui sait les aimer comme personne.

Pour les habitants de la haute ville, il est Armando Catalano, l’homme à la perruque poudrée qui sait dénicher aux fins fonds des catacombes romaines les reliques des saints de l’antiquité et du Moyen âge que princes et évêques s’arrachent à prix d’or.

Pour le cardinal Trebaldi, l’impitoyable maître des moines-guerriers, l’homme qui n’hésite pas à faire empaler dans son confessionnal un prêtre trop bavard, il est le témoin d’une époque maudite qui doit disparaître. Pour cela Trebaldi demandera à une gitane égyptienne experte en poisons de lui apporter la peau de l’homme qui porte sur l’épaule droite un tatouage en forme de scorpion. Tatouage infamant rappelant à tous que la mère du héros a péri brûlée vive sur le bûcher réservé aux sorcières.

Mais la gitane manquera son coup, déchaînant la colère du Scorpion. Les murs du Vatican en tremblent encore.


Ce qui est caché

Le scénariste Jean Dufaux désirait promener son imaginaire dans un de ces lieux ouverts à tous les fantasmes : le mythique harem d’Istambul. Pour en décrypter les codes, il y a pénétré avec la complicité d’une femme, la dessinatrice Ana Mirallès. L’un, par les mots, et l’autre, par les images, retracent la genèse et l’évolution de la fascinante série Djinn qui en résulta.
Istambul. Pour le scénariste Jean Dufaux, la ville présentait une culture d’une richesse exceptionnelle et une fracture : la fin du puissant Empire ottoman. Cette culture et cette fracture se retrouvaient dans un espace à la fois fermé et ouvert à tous les fantasmes : le harem. Mais en faire le cadre d’une BD, c’était risquer les clichés boiteux et les maniérismes machistes. Le choix d’une dessinatrice s’imposait. Une sensibilité féminine permettrait de garder une certaine distance entre l’objet décrit et les sensations que cet objet pouvait dégager.
Quand un heureux concours de circonstances le mit en contact avec la dessinatrice espagnole Ana Mirallès, il sut d’emblée qu’elle serait la partenaire idéale. Peu à peu, les décors ont été plantés, les personnages ont pris forme et leurs aventures se sont développées. Kim Nelson, Jade, Lady et Lord Nelson… Leur histoire allait se diviser en deux temps: deux époques, deux héroïnes, deux facettes d’une même malédiction, celle du Djinn. Au regard des premiers dessins, J.Dufaux comprit qu’Ana Mirallès se retrouvait dans Kim, dans cette énergie qui anime la jeune femme.
Cette rencontre magique, cette parfaite symbiose, cette merveilleuse alchimie entre l’auteur et la metteuse en images, entre les propos de l’un et les visions graphiques qu’en a offertes l’autre, un superbe album abondamment illustré de croquis inédits en rend maintenant compte. Il éclaire en outre sous un nouveau jour la complexité des relations entres les acteurs de cette troublante série.


Adieu

Dans Adieu, troisième tome de Grand Prix, Marvano nous raconte l’histoire de ces coureurs automobiles prêts à tout pour rouler, même à porter la croix gammée…

On tremble en lisant ce dernier épisode de Grand Prix, car chacun sait que, au-delà de la hantise de l’accident fatal, c’est un autre drame qui se joue. Mondial, celui-là. Chacun sait que derrière le vrombissement des moteurs résonne le claquement des bottes, que derrière les cris des directeurs de course, les vociférations d’un « conducteur » à la tribune déchirent le silence… C’étaient des sportifs, et ils voulaient être les meilleurs ; le gouvernement de Hitler leur donnait la possibilité de gagner. Devaient-ils refuser ?

Adieu est le troisième et dernier épisode de Grand Prix, une bande dessinée dans laquelle Marvano entremêle histoire de la course automobile et genèse de la Deuxième Guerre mondiale.


Berlin – Intégrale complète

L’intégrale de Berlin réunit les trois tomes de cette série, signée par Marvano, qui a pour héroïne la ville du même nom.

Berlin, une ville bombardée par les soldats anglais, puis occupée par l’Union soviétique et, finalement, disloquée par le Mur. Le fil rouge entre les trois albums de cette bande dessinée, c’est la Deuxième Guerre mondiale. Mais au-delà du récit historique et presque documentaire des événements, ce sont des vies d’hommes et de femmes pris dans cette Histoire qui nous sont contées.

Les trois épisodes de Berlin brossent une fresque guerrière flamboyante et racontent des aventures humaines tragiques.


Soizik

Balac, le scénariste du 1er tome de la série culte « Sambre » renoue avec la veine romantique de ses débuts. L’histoire d’amour qu’il nous conte se déroule à la fin du 18e siècle dans le nord de la Bretagne, région dont il est originaire.

Soizik est une jeune et jolie villageoise dont le destin va basculer suite à sa rencontre avec les deux frères d’une famille maudite: les Porphyre. C’est en voulant garder le bijou découvert au cou d’une noyée que Soizik fait la connaissance, dans l’antre du Kornik, du plus jeune des deux frères, Gwémon. Soizik ne restera pas indifférente aux charmes de l’aîné, Konan, tout juste sorti du bagne de Toulon. La maréchaussée l’y a précipité, enfant, en expiation des crimes de son naufrageur de père, le terrible Hyacinthe Porphyre. Pour tout héritage, celui-ci laisse à ses fils son oeil de verre sur lequel est inscrite une étrange phrase en latin…


MVREX ET AVRVM

En mettant en scène leur fresque antique « Murena », Dufaux et Delaby ont renouvelé la bande dessinée historique. Ils ont brossé le tableau d’une Rome plus vivante, plus trouble, et surtout plus authentique. Il ne manquait plus à leurs personnages que le verbe latin pour parfaire ce retour aux sources. Grâce au savoir de Claude Aziza (Université de La Sorbonne Nouvelle, Paris III) et de Cathy Rousset (Collège du Grand Parc, Lycée Condorcet, Université de Bordeaux III), c’est désormais chose faite ! L’album est enrichi d’un important dossier didactique qui évoque le contexte de la série, soit l’époque troublée des règnes de Claude et de Néron.


Imago Mundi intégrale 1

Avez-vous déjà rêvé, en vain, d’arpenter l’Atlantide ou de gravir la tour de Babel ? Regrettez-vous que certains secrets du passé doivent rester mystérieux à jamais…? Ce temps est aujourd’hui révolu, grâce à l’agence Imago Mundi !

Spécialistes de l’imagerie virtuelle, l’aventurier Harald Haarfager, le physicien Loïc Meillonnec et la mathématicienne Leia Lewis peuvent reconstituer n’importe quel site en images de synthèse. Grâce à une sonde révolutionnaire, couplée à des programmes à la pointe de l’informatique, Imago Mundi obtient des résultats de nature à redéfinir l’archéologie.

Attention, toutefois ! Il arrive que cette exploration virtuelle du passé révèle des secrets bien réels du présent…